La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1434)
La jeunesse dEdouard dEvans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode 1429) -
Quant à moi, à genoux, mains menottées dans le dos, j'ouvris largement ma bouche afin de recevoir La Virilité tendue du Maître qui s'enfonça profondément entre mes lèvres... Après avoir utilisé ma bouche sans ménagement comme un simple trou pour se soulager les couilles, tout en mempoignant les cheveux, il sépancha dans ma cavité buccale et mimposa davaler Sa semence sur un claquement de doigts
Quelques jours plus tard, les cours avaient pris fin. Contrairement aux autres années, il était prévu que je ne passerai pas les fêtes de fin d'année en famille. J'avais persuadé mon entourage familial que j'étais bien trop occupé à préparer des partiels... La réalité était, en fait, que le Maître m'avait ordonné d'être totalement à Sa disposition pour cette période, car la fin d'année allait correspondre à une progression de ma condition d'esclave qui était donc devenu désormais ma condition permanente. Maître ne m'avait donné aucun détail. Tout ce que j'avais à savoir, c'est que je serai à Sa disposition tout au long des vacances, que cela serait l'occasion de me faire progresser dans mon état de servilité. J'avais préparé la valise du Maître, et le chauffeur de La Famille d'Evans, (NDLA : un certain Firmin qui fut le prédécesseur de Walter) était venu nous chercher. Monsieur Le Marquis avait pris place sur la banquette arrière de la somptueuse berline de marque allemande et il m'avait fait prendre place à Ses Pieds, dans le large espace à l'arrière. Jignore combien de temps dura le trajet, assez longtemps pour que la langue de l'esclave puisse parfaitement nettoyer les semelles du Maître, alors que Celui-ci mavait juste fait baisser mon pantalon et caleçon pour me caresser le cul, le fesser, le doigter
Quand, enfin, nous avions passé un large portail aux imposantes grilles en fer forgé, lorsque le véhicule stoppa.
- Déshabilles toi, Mon chien... ordonna-t-il, ce que je fis naturellement, confiant mes humbles vêtements au chauffeur.
Mes frusques avaient été enfermées dans le coffre. Me retrouvant donc entièrement nu et à quatre pattes, j'attendais sans dire mot, baissant la tête en signe dune totale servilité... A ma grande surprise, le chauffeur referma la portière sans que Le Maitre m'adresse un mot de plus. C'est Firmin qui se pencha sur moi et me força à me relever. Jétais debout, toujours la tête baissée lorsqu'il fixa un lourd et épais collier d'acier au cou et me força à le regarder en face
- Monsieur Le Marquis va rejoindre Sa Demeure et tu vas le rejoindre. Même si habituellement cest à quatre pattes, car il ne sied pas à un esclave de se déplacer autrement, tu vas exceptionnellement marcher debout le long de ce chemin dérobé et mal carrossé, jusqu'au Château. Une fois arrivé, tu t'arrêteras au pied du vaste escalier où tu te mettras à genoux et attendras en silence, la tête baissée, restant les mains menottées derrière le dos. Tu as 30 minutes pour effec le trajet. Chaque minute de retard te vaudra châtiment.
Puis le chauffeur menotta mes mains dans le dos et regagna sa place. Et la berline démarra, s'éloigna, me laissant seul dans mon humiliante situation. Je me hâtai donc de me mettre en marche sur ce petit chemin secondaire aux nombreux nids de poule dont la glaise humide adhérait à mes pieds nus. II faisait froid et je progressais aussi vite que possible sur cette allée forestière, ignorant totalement quelle distance je devais parcourir et le temps qui s'écoulait. Le froid mordant tétanisait mes muscles rendant plus difficile ma progression sur ce sol humide et empli de trous, ce qui ne me ne facilitait pas la marche.
Quand mes pieds toucha le fond du trou boueux, javais de la vase jusquaux genoux et il me fallut galérer de mille façons pour sortir de la fosse 2 mètres plus loin, ayant les mains toujours menottées dans le dos. Je ny arrivais pas, ne pouvant magripper à aucun point dappui. Je tournais, de longues minutes, en rond dans cette fosse, tel un lion en cage, cherchant un moyen de sortir, quand au bout dun moment je sentis au niveau de mon tibia une sorte descalier de terre
Celui-ci se dirigeait du bon côté de la sortie mais pour tourner droit sur la clôture électrique. Je neus donc pas le choix pour sortir de cette fosse, de recevoir quelques décharges sur la taille, au niveau de mon sexe nu pour mettre enfin les pieds sur le chemin
Jactivais ensuite la marche sur les 100 derniers mètres, messoufflant vite, pour enfin atteindre le Majestueux escalier au pied du Perron... Epuisé, souillé de boue, frigorifié, je m'écroulais plus que je ne mettais à genoux et ainsi le regard rivé au sol, j'attendis... j'attendis longtemps, tremblant de froid...
Puis, j'entendis des pas lents et étouffés par la boue et je vis des hautes bottes devant moi.
Finalement, dun coup de pied sur mon épaule, l'inconnu me fit mettre à quatre pattes, puis d'une main ferme saisit le collier d'acier pour me forcer à me redresser et me montrant une cravache, il cingla ma croupe sale de boue pour me forcer à avancer
Nous contournâmes la vaste Bâtisse pur rejoindre un côté latéral ... Là une petite porte dérobée en vieux chêne et donnant sur un escalier étroit et profond en colimaçon fait de pierres dun autre temps, que je descendis à la hâte
Je parvins ainsi à une pièce que je connaissais par le récit du Maître, Monsieur Le Marquis. La vaste crypte où sont mis en cage les esclaves du Château. Mais en ce jour de décembre, les cages étaient vides. Plus pour longtemps, sans doute... Mais d'abord, celui qui m'avait mené là sans prononcer le moindre mot me fit signe de ne pas bouger et alla ouvrir un large placard, révélant toute une série d'objets divers et variés dont aucun ne me semblait avoir d'autre but que d'être utilisé sur des créatures soumises. L'homme silencieux hésita un instant, puis il se saisit d'une fine badine dont il éprouva la souplesse en cinglant l'air avant de revenir vers moi
L'inconnu se planta devant moi, me forçant à relever la tête afin de le regarder dans les yeux.
- Cinq minutes de retard pour atteindre le Château, c'est 50 coups de badine soit 10 par minutes !
Lhomme ne prononça pas un mot de plus, mais sortit de sa poche un petit cylindre de cuir qu'il poussa entre mes dents, comme le mors d'un cheval, puis me poussa afin que j'aille me tenir penché sur la grand table centrale, le corps posé sur le bois épais, la croupe tendue, la pointe des pieds seulement touchant le sol. Je m'agrippai de toutes mes forces au rebord de la table lorsque tomba le cinglant premier coup... Tout mon corps fut irradié par la douleur et je mordis avec force le petit cylindre de cuir dont je comprenais mieux l'utilité maintenant. Les coups tombaient, avec une régularité quasi mécanique. Le Silencieux ainsi que je le désignais dans mon esprit affolé appliquait la sentence sans le moindre commentaire, sans la moindre hâte. Apparemment sans le moindre sentiment, ni de cruauté, ni de pitié. Il agissait comme une machine parfaitement huilée qui frappait comme il le fallait afin que s'applique La Volonté du Maître... Soudain, cela cessa. Je n'avais pas compté, j'étais éperdu, je souffrais, des larmes coulaient sur mon visage. Lhomme alla ranger la badine, puis revint vers moi, me reprit le mors de cuir qui portait la trace marquée de mes dents et sans un mot, sans hésiter, il me gifla dune paire de baffes bien appuyée me faisant voler ma tête sur les côtés. Ensuite, il enfonça deux de ses gros doigts dans ma bouche et le fit manuvrer
Les coups de cravache, les multiples humiliations furent vite trahies par mon érection que je ne pouvais pas dissimuler, ce que linconnu remarqua dun simple coup dil
- Mais cest que ça lexcite tout ça, ce petit chien en rut !
Ensuite, il me branla sans ménagement me fixant droit dans les yeux dun regard très sévère et réprobateur, parlant de lui-même qui semblait me dire si tu éjacules, tu seras châtié. Alors je compris son silence si parlant et fis mille effort pour ne pas lâcher mon foutre de chien
. Je serrais les dents et au moment où je crus que jallais ne plus arriver à me retenir, il stoppa net de me branler ma nouille de chien soumis
Puis, il me conduisit vers l'une des cellules dans laquelle il m'enferma. La "cage" était quasiment vide, à l'exception d'un fin matelas servant de couche et d'une gamelle de fer blanc garnie d'eau fraîche. Me recroquevillant dans un coin, encore tremblant de la punition reçue, je me préparais à attendre, toujours dans une puissante érection que je ne pouvais réprimer... Je vécus ainsi cloitré, seul durant ce que j'imaginais être deux ou trois journées. L'absence de lumière du jour brouillait la perception du temps et je tentais de définir approximativement celui qui passait en fonction de la pitance qui m'était accordée deux fois, supposais-je, par jour. Une sorte de brouet fait de rognures de légumes et de céréales avec parfois ce que j'imaginais être des restes de viande. Une fois par jour, Linconnu me faisait sortir de la cellule et me faisait sortir par le même escalier que nous avions emprunté à mon arrivée et je faisais mes besoins à l'extérieur, mais toujours de la façon dun chien animal, un peu plus loin dans les bois qui entouraient le Château.
Enfin, au bout du troisième jour, lhomme vint me chercher. Il ouvrit la cellule et me montra un seau posé au sol, avec auprès de lui un petit bout de savon et une éponge. Je fis donc ma toilette aussi bien que possible, avant que linconnu ne me fasse asseoir sur une chaise et se charge lui-même de me raser des près, le visage bien sûr, mais aussi le pubis et les couilles, tout en me faisant de multiples attouchements des plus pervers, ce qui accentuait mes nombreuses érections réagissant à toutes ses humiliations... Je fus aussi obligé de le prendre en bouche afin quil se vide tout au fond de ma gorge
Ainsi lavé, rasé, presque frais, je fus mis en laisse et entraîné vers la grande porte d'acier qui fermait la crypte
. Après le dédale d'escaliers, de couloirs, nous voici à létage au-dessus dans une aile du Château
(A suivre
)
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